Dimanche, 22 mai, 2022

Interview Maïa et Elsa ( Dublin airport)

 

samedi, 21 mai, 2022

Visite du musée EPIC ou comment mieux comprendre l'Irlande

Texte écrit à 2 mains ( Mme Blondel et Manon ) 

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vendredi, 20 mai, 2022

Thank you text for the DCU girls

L'interview de Yoni

 

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Interview de Manon

Manon nous parle de son stage et fait le bilan 

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mardi, 17 mai, 2022

Useful words ( by Coralie)

*card

 

Lundi 16 mai (après notre journée de stage) par Yoni

Visite de Howth

Après mon travail je suis allé rejoindre mes amis au Dart, c’est un train qui fait le tour de la ville, pour qu’il nous dépose à Howth,  un village de pêcheurs. Arrivés sur place on s'est  précipité vers la plage pour voir la côte. Ce fut une très grande surprise quand Madame Blondel et moi voyons dans l’eau un animal, on était heureux mais on ne savait pas ce que c’était.

On a continué notre moment de détente et on a demandé à prendre des photos aux personnes non loin de nous et il s’est avéré que c’était une française qui était comme nous en Erasmus+. On prend la photo et on continue notre marche, à un moment je tourne la tête et je vois une otarie. J’ai dit à tout le monde « regardez regardez y a un truc dans l’eau » et au moment où je dis ça elle vient vers nous comme si elle voulait parler avec nous.

Un peu plus tard on cherche où manger un bon fish&chips et on revoit un français qui nous parle d’une restaurant qui les prépare super bien, on y va, on commande et bien sûr les profs payent la facture qui était salée comme la mer. Ensuite on s’installe dehors pour déguster notre fish&chips et on se fait attaquer par des oiseaux, des mouettes, des corbeaux, des moineaux tout type d’oiseaux, c’était pas facile de manger avec madame Mordi qui a peur des volatiles mais on a fini notre « assiette » et on est allé manger une glace.

Pour le retour on a repris le Dart et les Normands se sont fait encore remarquer à cause de Coralie, Yoni(Moi) et madame Mordi car madame Mordi a baillé et Coralie lui a dit « madame quand vous baillez vous ressemblez à un animal » moi j’ai dit « mais oui une girafe » on a rigolé tous les trois mais je n’avais pas vu que madame Mordi avait encore de l’eau dans sa bouteille, donc j’ai pris une douche dans le Dart.

Voilà notre soirée de Lundi soir j’espère que vous avez rigolé autant que nous.

Maître Yoni, la bataille de Clotarf, les Vikings et Brian Boru

Merci à Yoni qui a accepté de nous faire un petit cours d'histoire, je le laisse "en l'état"...

Enjoy!

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Lundi, 16 mai, 2022

Manon interviewe sa tutrice... BRAVO à elle!!

 

Dimanche, 15 mai, 2022

Dimanche 15 mai 2022 

Sunday fairy Sunday

Ahhhhh réveil en panique totale suis en retard Mme Mordi vient me réveiller : « Viiiite, tu n’auras pas le temps de prendre un petit dej… », appels manqués etc etc… le stress OMG suis vraiment trop nulle, pourquoi mon réveil n’a pas sonné ? je ne l’ai pas entendu ?

Bon disons ici en termes diplomatiques que j’ai encore une heure pour me préparer...mon réveil allait bien sonner..Mme Mordi a entendu quelqu’un dans la maison, et s’est réveillée en panique pour me réveiller en panique...bref tout le monde en panique quoi.

Moi j’étais en train de rêver…qu’un élève habitait chez moi…Bon les élèves … faudra penser à me laisser tranquille maintenant, la journée non-stop ça ne vous suffit pas, il faut que vous veniez hanter mes nuits aussi…

Je peux finalement apprécier le petit déjeuner préparé par Mme Mordi.

Point de rdv…petit point gossip j’apprends le ragot de la mort, je ne peux pas le dire mais c’est un nouveau couple...et je connais les deux…un peu...ahhhh j’arrête... sinon je vais trahir le secret, mais j’ai quand même envie de le dire mais…ah c’est trop dur !

On monte dans le bus pour notre excursion et à partir de ce moment, Kim ne s’arrêtera plus JAMAIS de parler. C’est hyper intéressant, enrichissant, drôle etc etc mais il y a un moment faut faire une pause madame !!!

Bon quelques faits que je porte à votre connaissance : « the Spire » est aussi appelé « the stiletto » par les Dubliners (« stiletto in the ghetto », c’est clairement un « nickname » que je valide).

Les Irlandais disent « enjoy the craic » pour l’équivalent d’ « amusez-vous bien ».

Et confirmation d’une constatation que nous avions faite depuis un moment : il y a bien 4 saisons dans une seule journée ici, c’est un fait avéré.

1er arrêt : Glendalough c’est magnifique, pas surprenant que l’acteur Daniel Day Lewis habite dans les Wicklow mountains. On nous raconte l’histoire de Saint Kevin et on visite les vestiges de son monastère. Moi j’ai retenu puis expliqué aux élèves que ce Saint en pleine prière avait les mains tendues et, absorbé, par ses prières il ne s’est pas rendu compte que des oiseaux s’y étaient posés puis y ont fait un nid et y ont pondu. Quand il en a pris conscience il a décidé de rester ainsi et de laisser les œufs éclore…

Nous marchons et mettons à jour nos profils instagram.

Elsa ne marche pas droit mais ce n’est pas vraiment de sa faute, c’est à cause de ses jambes.

On essaie d’enlacer la croix de Saint Kevin pour savoir si on va épouser un Irlandais…bon pas de mariage prévu dans ce groupe.

Quentin fait le cabri et escalade des montagnes. Coralie la philosophe nous conseille de ne pas mettre de filtres sur les photos car « la nature est tellement belle qu’il faut la laisser au naturel » (je pense très fort qu’elle ne m’a pas vue au saut du lit ce matin à 6h mais bref…)

C’est l’anniversaire de Sophie F, la maman de E et aussi celui de la maman de madame M. Je leur souhaite ici !

Cascade se dit « waterfall » en anglais c’est beau mais bientôt arrive LE drame…

Comment dire ? la guide me dit qu’elle ne pourra pas attendre plus de 10 minutes les brebis égarées… (réactivation du mode panique) …OK 2h15 plus tard, nous repartons vers Wicklow Gap où personne de notre groupe n’ose plus descendre du bus par peur d’être en retard.

Maïa n’a pas mangé de cadavre ce midi mais un banal sandwich. Je ne dis rien mais je suis un peu déçue.

Dans le bus, la guide nous explique que les fées ont des « portails » entre leur monde et le nôtre, et qu’il ne faut surtout pas marcher dessus ou pire abîmer ce passage, c’est pourquoi on peut voir en Irlande d’énormes rochers entourant certains arbres : les pierres les protègent… c’est « a very serious matter » ici.

Nous arrivons maintenant à Hollywood...ah enfin le monde entier reconnaît mon talent et m’emmène là où j’ai toujours dû être !!

Arrêt suivant : Kilkenny. Nous descendons en mode profil bas et en baissant les yeux, la guide nous donne juste pour nous une heure spéciale, ohhh ça va on a compris hein.

Manon se souvient que Henry 8 n’a pas toujours été tendre avec ses femmes (méga euphémisme).

Là encore je suis bien contente que l’on reconnaisse le talent de mes ancêtres puisque Merry Joseph Blondel, le peintre au style néo-classique (bien sûr je sais que cette précision est inutile puisque tout le monde est évidemment au courant) est cité et est l’auteur d’une peinture mettant en scène Cupid et Psyche.

Avec Quentin et Manon, nous remarquons sur plusieurs tapisseries Publius Decius. Il est représenté en héros qui s’est sacrifié dans un combat contre les Latins pour donner la victoire aux Romains. On le voit avec des signes de victoire autour de son cadavre : des têtes sur des piques, des armes à ses pieds. On le voit aussi se prosterner devant des religieux en « devotio » (pacte selon lequel il s’abandonne aux dieux et leur permet de prendre jusqu’à sa vie).

J’apprends à Quentin ce qu’est une mise en abyme et il m’en donne un exemple concrêt aussitôt.

(Demandez-lui si vous ne savez pas).

Maïa a la même table que celle du château : soit une table d’environ 10 mètres de long tout en marbre. Je l’imagine chez elle dans un lit à baldaquin, avec une salle de bal de 80 mètres de long…

Après les toilettes, Quentin dit « ah enfin nous sommes allés sur le trône ». Je ne savais pas quoi faire de cette blague alors je vous la pose là.

Un monsieur dans un magasin nous entend parler et vient voir Manon, il nous dit qu’il nous a entendus et pensait que nous parlions une langue proche du français mais pas vraiment français.

Je pense qu’il s’agit du fameux dialecte : le Bolbécais. Le monsieur est à l’image des Irlandais : doux, gentil et patient. Il m’apprend des mots en Gaélique, m’explique qu’en Gaélique il n’y a pas de mot pour dire bonjour mais on dit « Dieu est sur/avec toi »). Il adore la Bretagne car un ami à lui y habite qui joue de la harpe. Il s’agit d’Alan Stivell. Oh mais je le connais (ok ce n’est pas tout à fait vrai mais ce n’est pas non plus un mensonge parce que j’ai déjà entendu son nom alors j’ai le droit, non ?) Bon évidemment mon style : j’en fais des tonnes. « Oh but he is a star, he is sooooo famous in France !!! ».

On se dit au revoir en Gaélique et on se serre chaleureusement la main. J’avais presque envie qu’il m’adopte tellement il était gentil.

Je dis à Coralie, tu fais dans le car ce que je t’ai demandé s’il te plaît ? Bon bah évidemment c’est une blague je sais bien que dans le car on ne fait pas ses devoirs. Coralie me répond « oui madame, c’est promis ».

Mais qui es-tu, Coralie ???

Yoni me demande si je sais combien il a pris de photos. Je dis  : « Heu ... 509 ? ».  

Ahahah (rire diabolique). Yoni a pris 509 photos. C’est beaucoup mais c’est moins que …par exemple quelqu’un qui aurait imprimé 500 000 étiquettes parce que là non vraiment ce serait beaucoup trop et absolument inacceptable.

Nous remontons dans le car et la guide dit « that’s a wrap ».

 

Pour nous aussi cette 1ère semaine it’s a wrap !

Well done, nous !!!

 

 

samedi, 14 mai, 2022

Quentin nous raconte...

Vendredi soir nous sommes allés à THE RINK, pour faire du roller Disco. Alors nous devions mettre les rollers en se battant avec Coralie pour le banc. Une fois entrés nous avons appris comment rouler avec. Au bout de quelques tours crispés à cause de la peur nous avons commencé à nous détendre et danser. Mais très mauvaise idée pour Madame Mordi et Madame Blondel qui sont tombées à la vitesse de l’éclair et sans bruit. Yoni aussi était parti pour devenir cascadeur, il n’arrêtait pas de tomber par terre. Après cette session intense de cascades nous sommes allés au Mcdonald juste à côté. Et 13 heures après la commande des profs qui ne comprenaient pas comment ça marche nous avons dégusté notre mcdo. A la fin Coralie avait perdu sa carte de bus alors tout le monde la cherchait à part moi je jouais à Sonic sur les tablettes du Macdo pleines des bactéries E.coli comme dirait Madame Mordi. Ensuite dans le tram par miracle des contrôleurs sont arrivés, Coralie en plein stress sort une ancienne carte de bus qui a miraculeusement marché. Plus tard elle a retrouvé sa carte collée sous son sac comme spiderman. La deuxième journée nous nous sommes rejoints à 11h50 pour aller manger ce qui normalement devait être une pizza et qui a fini en une table remplie de nourriture c’était vraiment très bon! Avec le ventre gonflé et prêt à craquer, nous sommes sortis en direction du stade pour aller voir le match de rugby Toulouse/Leinster. Une fois arrivés, nous nous sommes séparés et avons suivi le match qui au début avait très bien commencé pour nous mais une fois avoir dit que l’autre équipe était nulle tout d’un coup ils nous ont rattrapés, et c'est avec tristesse que le match a terminé avec 40 à 17 pour… Leinster. Nous nous sommes pris une grosse fessée. 40-17 ça fait très mal. Alors Yoni et Manon nous ont trahis et sont partis dans l’autre camp. Une fois le stade rempli par mes larmes, et alors que les autres comptaient partir avec Madame Mordi,  Madame Blondel et moi  sommes partis à la chasse aux joueurs pour tenter d’avoir des photos alors qu’on ne connaissait même pas leurs noms. Alors on a fait tout le tour du stade pour obtenir des photos en poussant et en passant entre les gens on a réussi à avoir des photos c’était très cool. Ensuite nous sommes repartis en train en quittant les profs ;(

Orazio, Coralie et Yoni

Coralie  ( qui ne connaissait pas le tableau):

"J'aperçois un petit homme ( qui ne compte pas dans la société, très faible face à un grand homme (sans doute  important dans la société) , le tableau est obscur.

Les couloirs sont  : blanc, noir, marron et ça apporte de la tristesse. Il y a un contraste entre ces couleurs très marquées, comme le contraste entre la force du grand homme et la "faiblesse" du petit.

Le message que m'apporte ce tableau, c'est que l'on peut être fort sans être grand et important."

Yoni ( qui connaissait le tableau):

"Le tableau évoque l'attaque de David contre Goliath ( mythologie grecque). David tue Goliath. David est un garçon qui a eu le courage de combattre Goliath jusqu'à la mort. Goliath était un géant qui terrorisait un village depuis des siècles. Un jour David a dit qu'il allait le combattre mais personne ne croyait en lui. Finalement il a réussi à leur donner tort et à faire régner la paix dans son village."

 

Orazio Gentileschi, David and Goliath, c 1605-1607

vendredi, 13 mai, 2022

Alberto et Maïa

Alberto Giacometti, Heads of men, face on and in profile on a letter from Flora Mayo, c 1963

Lorsque le stylo bille est introduit sur le marché Français dans les années 1950, Giacometti  saisit immédiatement le côté pratique pour son art. Il dessine partout avec sur des reçus, des serviettes de table, des enveloppes..tout ce qui lui tombe sous la main.

 

Voilà ce que Maïa pense, ressent en regardant ce tableau :

"Je pense au mot dépersonnalisation, une personne anxieuse qui ressent de la peur et le besoin de s'échapper de la réalité.

C'est comme si on voyait les pensées négatives qui envahissent la personne.

J'ai l'impression que ce tableau me essemble. Il me fait penser à toutes ces pensées intrusives qui peuvent traverser l'esprit à n'importe quel moment et à ces envies de vouloir s'enfuir d'une situation ou d'en endroit dûes à l'anxiété."

 

 

 

 

There is always light...

Madame Blondel m’a envoyé deux poèmes en me demandant ce que j’en pensais.

 Alors j’ai choisi le premier car il me plaisait bien. Il disait :

 

"For there is always light, if only we’re brave enough to see it . If only we’re brave enough to be it." 

 

Autrement dit en français : "Car il y a toujours de la lumière, si seulement nous sommes assez courageux pour la voir. Si seulement  nous sommes assez courageux pour l'être."

 Celle qui a écrit cela c’est Amanda Gorman c’est une poète et militante américaine et elle a seulement 24ans. 

Ce que je comprends c’est que nous ne sommes pas assez courageux pour voir ou pour être la lumière. Mais je ne comprends pas ce qu’elle veut dire par lumière. Alors je trouve ça beau et ça peut faire réfléchir sur le sens de la « lumière » de mon côté je trouve que c’est plutôt la paix, car il y a toujours de la paix mais nous ne sommes pas assez courageux pour la voir et pas assez courageux pour être en paix ( dans le monde ) etc.. et quand elle dit « nous » je pense que c’est pour décrire les êtres humains ...et madame Blondel pense que le mot « lumière » signifie plutôt  la voie ou comme un guide pour quelqu’un ou quelque chose et qu'il y a toujours un espoir même si parfois il faut bien se forcer à le trouver.

Voilà mon côté artistique !!!

 

QUENTIN

mercredi, 11 mai, 2022

Mercredi 11 mai 2022

 

Hier nous sommes allées voir Coralie sur son lieu de stage puis Yoni en « charity shop ». RAS... des vrais employés modèles dans la routine des tâches à effectuer. Le manager nous dit que Coralie est « amazing » et Yoni donne un article à sa tutrice qui lui répond « thank you My Lord ».

Aujourd’hui on va voir Quentin aka « le trottineur fou ». Logiquement, une heure de route à peu près…6 heures et demi plus tard, nous sommes devant et à ce moment précis je déteste Quentin…mais ça ne dure pas plus d’un quart de seconde car on ne peut PAS détester Quentin qui déteste être filmé et que l’on filme, qui déteste parler et qui répond avec le sourire à toutes nos questions.

Il nous emmène à notre arrêt de bus. M***n (je garde l’anonymat pour pas qu’elle ait honte !) me demande comment on dit « on va rentrer tard ce soir, ne nous attendez pas ». Yoni nous demande où on est.

Mme Mordi se rend à son stage.

Après avoir fait le musée de l’archéologie, le musée Dublinia, je décide de me diriger vers ma 3ème sortie culturelle : le musée Penney’s. Il est gratuit et très intéressant, il y a trois étages et le personnel est très sympa.

Yoni nous demande où on est.

Je me promène dans la ville, je suis en débardeur et j’ai mis mes lunettes de soleil.

Je passe Ha’penny bridge et m’émerveille devant ces portes colorées. C’est très beau, il doit y avoir une histoire incroyable derrière ça. Mme Mordi me dit « en fait c’est pour qu’ils puissent différencier leurs maisons et les reconnaître quand ils sont bourrés » …ou comment revenir à une réalité beaucoup moins poétique…

Je passe devant un « fishmonger » dont la devise est « if it swims, we have it ».

J’enfile ma doudoune et mes bottes de pluie.

Yoni me demande où on est. Les filles nous demandent où on est mais clairement Elsa n’est pas hyper forte en cache-cache.

Rdv dans le parc. Aujourd’hui Mme Mordi a rencontré une nouvelle collègue, elle se présente, dit qu’elle va travailler avec elle..la dame est très gentille, le seul problème étant : c’est une cliente ! Alors elle est très gentille mais elle ne va quand même pas rester travailler 2 semaines avec Mme Mordi.

Finalement elle trouve sa nouvelle collègue qui vient de Papouasie... ou alors Brésil... à moins que ce ne soit Hawaï…

Yoni nous demande où on est.

Je demande à Coralie ce qu’elle doit faire comme compte-rendu : elle me dit qu’elle doit faire une description brive des activités. Hmmm « brive c’est bien ça ? »

Moment de solitude mais on se comprend avec Coralie parce que je lui demande si Yoni est bientôt, et elle me répond et a la délicatesse de ne pas me dire que ma phrase n’a absolument aucun sens.

Yoni nous demande où on est.

Nous passons devant la statue de Molly Malone et Coralie nous raconte son histoire.

Sortie pédagogique à Temple bar. Je ne peux pas tout révéler mais Mme Mordi rêve de monter sur un dromadaire mais Coralie et moi on préfèrerait le poney.

Attention blague raciste du trottineur fou : comment appelle-t-on un roux mangeur de carottes ici ? un cannibale. Comme j’ai beaucoup d’empathie pour les gens qui ont des moments de solitude (étant moi-même connaisseuse) je ris.

Maïa nous montre ses blessures de guerre, une sur chaque doigt. On discute de choses plus ou moins drôles.

 C’est Manon qui passe la commande.

Ce soir toutes les « Marie » et tous les « Jean » sont rentrés. Merci les Dubliners.

Oh et sur notre « way back », a rainbow… annonciateur de nouvelles aventures... ?!

(Il y a eu aussi un monsieur dans le dart qui rotait à notre figure mais ce ne serait pas classe de finir par ça ...alors revenez deux lignes plus haut et gardez le « rainbow » en tête).

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