Visio conférence avec Nicolas VANNIER

Nous avons participé à une visioconférence avec Nicolas Vannier. C’est le réalisateur du film, « C’est le monde à l’envers ». Il nous a raconté que lorsqu’il était petit, il vivait dans une ferme. Il avait pris la caméra de son père et il est allé filmer des sangliers avec leurs petits. C’est son tout premier film. Quand il était petit, il a commencé à écrire un livre dans un cahier et c’est comme ça qu’il a eu l’idée du film « Belle et Sébastien ». Il est allé en Chine avec sa femme et sa fille qui avait un an et demi. Ils sont montés sur un cheval et Nicolas Vannier avait sa petite sur le dos. Sa fille a appris à parler là-bas, elle a appris des mots comme « loup, traîneau, chiens de traîneau », pas des mots que tous les enfants disent à cet âge.

Nicolas Vannier nous a appris que les loups n’attaquaient pas les hommes, ils protègent leurs territoires et leurs petits. Les loups se défendent. Il nous a parlé de la pollution, il faut qu’on fasse attention. Il y a plein de déchets, cela pollue la planète, cela entraîne le réchauffement climatique. Par exemple, la banquise avec les ours blancs, les ours blancs ont besoin de la banquise pour vivre, mais avec le réchauffement climatique celle-ci diminue. Dans la glace, il y avait un mammouth qu’ils ont retrouvé avec la fonte des glaces.

Nicolas Vannier a invité une classe chez lui pour observer le brame des cerfs, il a été choqué de voir tout le monde sortir son téléphone pour filmer au lieu de profiter du moment et de regarder avec leurs propres yeux. Ils ne vivaient pas l’instant présent, mais regardaient à travers l’écran du téléphone.

Nicolas Vannier avait 11 chiens de traîneau, il a fait des portées pour renouveler sa meute. Il a voyagé en Mongolie, en Chine, en Sibérie, en Alaska, au Canada avec ses chiens. Il a voyagé avec des rennes aussi.

Il a réalisé le film « Le dernier trappeur », « Loup », « Belle et Sébastien », « L’école buissonnière », «  Donne-moi des ailes ».

Le film que nous irons voir parle de la société dans laquelle on vit, on consomme trop. Il faut qu’on économise nos ressources.

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