Automne 2021 - Jus de pommes

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Mardi 9 novembre 2021, nous sommes allés ramasser des pommes à Cahan chez Paul. Il vient parfois à l'IME pour remplacer des éducateurs qui sont absents ou en formation. Cahan se trouve au nord du département de l'Orne, à la limite du Calvados.

Il y avait 6 pommiers. On a passé la matinée à ramasser les pommes. D'abord, Paul a fait tomber les pommes. Nous, on avait juste à les ramasser par terre. 

On les mettait dans un seau, ou un panier, ou un cajeau ou un sac. Quand on avait fini de remplir notre récipient, on le vidait dans la remorque. On a rempli la remorque.

Certaines pommes étaient pourries ou picorées par des oiseaux. Ces pommes-là sont laissées au sol. 

On a fait une pause en milieu de matinée avec un sirop et un michoco. Le midi, on a mangé chez Paul le casse-croûte de l'IME. On a eu une crêpe en dessert. Ceux qui voulaient pouvaient prendre un peu de café.

On a ramené les pommes dans la remorque.

         

Vendredi 19 novembre, nous sommes partis à Bréel chez les empommés. On a apporté nos pommes et on a vidé la remorque.

On vidait les cagettes de pommes sur une table et on enlevait les pommes pourries.

Les autres continuaient pour être rincées à l'eau.

 

On voit Sarah qui lave et met les pommes dans un seau.

 

Ensuite, on vide le seau de pommes propres dans le broyeur.

 

Les pommes ressortent du broyeur dans un seau.

 

On vide le seau de pommes broyées dans un moule carré posé sur une clayette en bois. Les pommes sont entourées d'un tissu en sorte de toile de jute.

On empile 7 épaisseurs de pommes broyées et on met dans la presse. Le jus sort dans le tonneau bleu juste en-dessous.

 

Quand le pressoir a fini, il reste des galettes de pommes écrasées. Les galettes sont jetées.

 

Le jus est ensuite chauffé dans une cuve à 80°C et refroidi rapidement. C'est la pasteurisation. Si on ne le fait pas, le jus pourrit et va s'alcooliser.

 

On déballe les bouteilles vides.

 

Une machine remplit les bouteilles et s'arrête automatiquement à 1 Litre.

 

Ensuite, on bouche avec une capsule.

 

On doit coucher les bouteilles pour que ça ferme bien la capsule.

 

Certains élèves ont travaillé sur l'étiquette. C'est celle de Sarah qui a été choisie.

 

Après avoir imprimé et découpé les étiquettes, on les a collées sur les bouteilles avec de la colle en bâton.

 

Ensuite on a stocké les bouteilles prêtes à être vendues dans une caisse-palette. On a fait 187 bouteilles en tout.

Chaque participant est parti avec une bouteille gratuite. Et on peut en acheter d'autres. C'est 2,50€ et quand on ramène la bouteille vide, on nous rembourse 0,50€.

 

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